Syndrome de fibromyalgie, douleur thoracique atypique, syndrome de douleur pelvienne chronique, syndrome de l’intestin irritable, dyspepsie fonctionnelle, céphalée de tension chronique, migraine chronique, lombalgie profonde chronique et autres formes de douleur primaire chronique avec hypersensibilité centrale, syndrome de fatigue chronique/encéphalomyélite myalgique, etc
Hypertension difficile à contrôler, tachycardie liée au stress, syndrome de Takotsubo, syndrome de tachycardie posturale, etc. Un stress sévère et prolongé peut contribuer à des modifications dégénératives structurelles des vaisseaux sanguins et à une augmentation du risque d’infarctus.
Troubles dissociatifs (anciennement: troubles de conversion), certaines formes de vertiges chroniques et d’acouphènes chroniques, crises non-épileptiques psychogènes, etc.
Troubles physiques d’origine neurovégétative dans le cadre d’un stress aigu, troubles physiques persistants dans le cadre de troubles consécutifs à un traumatisme, de troubles de l’attachement, de problèmes relationnels, de conflits chroniques, de harcèlement moral, de workaholisme, de syndrome d’épuisement professionnel, etc.
Dermatite atopique, psoriasis, sclérose en plaques, colite ulcéreuse, maladie de Crohn, polyarthrite chronique, asthme bronchique, etc.
Trouble panique, anxiété pour la santé (autrefois appelé hypocondrie), trouble à symptomatologie somatique (autrefois appelé somatisation), maux de tête et de ventre « inexpliqués », entre autres chez les enfants, etc…
Développement d’une dépression secondaire en cas de douleur chronique ou d’autres maladies chroniques, rétablissement difficile après une intervention médicale ou un traitement aux soins intensifs, difficultés d’acceptation de la maladie, trouble de l’adaptation en cas de diagnostic de cancer ou d’autres maladies graves.
Anorexie, boulimie, hyperphagie, orthorexie.
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